Affiche Maxime Da Silva député

Les 12 et 19 Juinun autre monde est encore possible
avec Maxime Da Silva
à l'assemblée

Les élections législatives peuvent véritablement bousculer le cours des choses. La Nouvelle Union Populaire écologique et sociale, qui réunit la France insoumise, Europe Écologie les Verts, le Parti Communiste Français et le Parti Socialiste, peut demain gouverner le pays. Si vous m'élisez député, comptez sur moi pour porter notre voix et défendre notre territoire avec force sur les bancs de l'Assemblée nationale.

Maxime Da Silva

Les 12 et 19 juin, votez pour :

Considérer les dépenses de santé comme un coût à comprimer est un contresens. L'austérité budgétaire dégrade l'état de santé de la population et coûte in fine plus cher à la collectivité. Il convient donc de sanctuariser les moyens, d'assurer un financement solidaire de notre système de santé tel qu'était l'objectif initial de la création de la Sécurité sociale. Il faut garantir une prise en charge intégrale des prestations de soins et de prévention tout en veillant à éviter les dépenses inutiles (les assurés sociaux ont financé pendant des années un médicament toxique comme le Mediator). Inflexibles sur les principes de solidarité et d'égalité, nous le serons aussi concernant la bonne utilisation de la dépense publique, en particulier pour des raisons de sécurité et de qualité des soins.

Une telle approche passera par l'instauration du « 100 % Sécu » en remboursant à 100 % les soins de santé prescrits et en intégrant les mutuelles dans la Sécurité social.

Les jeunes sont les premières victimes de la crise sanitaire : les immenses files d'attente pour obtenir de l'aide alimentaire, comme à Mont-Saint-Aignan, n'ont pas eu raison d'un gouvernement qui leur a refusé le revenu de solidarité active (RSA) alors qu'ils avaient faim. La solidarité familiale a remplacé des aides publiques largement insuffisantes et les inégalités en fonction du milieu d'origine ont été exacerbées que ce soit dans l'accès à l'emploi ou la poursuite d'études. Il est temps de rattraper notre retard et de garantir aux jeunes les conditions de leur autonomie.

Alors que de grandes entreprises, tel qu'Amazon, étouffent nos commerces et entreprises, il est indispensable de refonder l'impôt sur les sociétés pour établir l'égalité devant l'impôt entre PME et grands groupes. Pour ce faire, un barème progressif sera instauré en fonction des bénéfices réalisés et selon leur usage et favoriser l'investissement plutôt que la distribution de dividendes.

Le rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) nous donne 3 ans pour changer notre dynamique écologique avant d'atteindre l'irréversible. Afin de planifier cette bifurcation écologique, une mesure claire s'impose à nous : Inscrire dans la Constitution la règle verte. Cette mesure impose de ne pas prendre plus à la nature que ce qu'elle peut reconstituer, notamment en reconnaissant un statut juridique pour la nature (possibilité de la défendre en justice, prise en compte dans les décisions, reconnaissance du crime d'écocide…)

Grâce à l'investissement dans la bifurcation écologique et sociale.

Dans notre pays 8 millions de personnes sont à l'aide alimentaire et la Seine-Maritime n'est pas épargnée. Il est inconcevable de laisser des enfants aller à l'école le ventre vide. De plus ce projet permettra de multiplier le bio et le local dans les assiettes des élèves et favoriser une agriculture biologique.

En décembre 2019, notre pays a connu une des grèves les plus longues de son histoire contre la réforme des retraites d'Emmanuel Macron. Pour l'affronter, le gouvernement a même choisi de détourner le Conseil des ministres dédié au Covid-19 pour annoncer l'utilisation de l'article 49.3 et l'adoption de la réforme sans vote. Malgré les mensonges proférés dans les médias, les Français ont compris que la retraite à points signifie « travailler toujours plus longtemps et subir une baisse des pensions ». Rien ne justifie de renoncer au système actuel, de solidarité intergénérationnelle avec garantie du niveau des pensions. Pour vivre plus longtemps, dans des conditions dignes et en bonne santé, il faut pouvoir s'arrêter de travailler suffisamment tôt. Nous ferons donc la retraite à 60 ans avec 40 anuités.

Un salarié au SMIC gagne à peine plus que le seuil de pauvreté. 60 % de ces salariés sont des femmes souvent employées à temps partiel. À l'autre bout de la hiérarchie, les revenus de certains PDG sont indécents. À poste et qualification équivalents, les femmes sont toujours moins payées que les hommes. Et la maternité reste le plus souvent un « risque » pour leur carrière. Dans ces conditions, plus de 700 000 femmes sont empêchées d'accéder à l'emploi, alors qu'elles le souhaiteraient. C'est une injustice pour elles et une atteinte au principe d'égalité.

La pauvreté a explosé sous le quinquennat d'Emmanuel Macron. Les prix des produits de première nécessité pèsent lourdement sur le budget de millions de Français, laissant un nombre croissant de foyers dans la précarité énergétique et l'insécurité alimentaire. Face à la hausse des prix et à cette l'urgence sociale qui fracasse le pays, il est urgent de bloquer les prix de l'énergie, du carburant et des produits de première nécéssité. 85% des Français sont favorables.

Malgré de grandes déclarations, la politique menée ne pourrait se résumer qu'à une vaste mascarade pseudo-féministe. Ce soutien de façade aux luttes féministes est miné de l'intérieur par les propres déclarations du Président de la République et de son gouvernement. Au-delà de cette violence symbolique, l'action étatique est toujours insuffisante. Alors que les associations demandaient 1 milliard d'euros pour lutter contre les violences sexuelles, les budgets sont restés bien inférieurs d'année en année. Nous octroierons ce milliard pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles.

Je prend la parole

Chaine YouTube de Maxime Da Silva

Me suivre

Me contacter

21 Place de la Haute Vielle Tour
76000 Rouen